Si Pierre et Christine ne sont pas encore invités sur le plateau de CNews, ils sont bien visibles ce 21 février sur la bande annonce du gravissime sujet des sournoises invasions de nos campagnes par Macron et ses complices !
VILTAÏS, vous connaissez ?
Si non, lisez avec la plus grande attention ce qui suit, et surtout, ouvrez grandes vos écoutilles dès que vous lisez ou entendez prononcer ce nom autour de vous… non pas chez les médias collabos aux ordres du pouvoir par subventions interposées, mais chez tous les lanceurs d’alertes, luttant pied à pied avec le machiavélique projet du N.O.M. et ses pantins (dont Macron et l’UE) du grand remplacement de population et civilisation par des hordes de sauvages sanguinaires, qu’ils nient effrontément, quand sur le terrain cela devient de plus en plus aveuglant !
Donc Viltaïs est une immonde association à la tête d’un réseau d’hébergements pour migrants, autrement dit complice active des nouveaux négriers que sont les ONG, premiers responsables des noyades de migrants qu’ils encouragent à quitter leurs pays pour l’Eldorado que serait l’Occident, dont l’UE et la France, sans véritable souci de ce qu’il leur adviendra… le principal étant pour eux l’agréable et continu bruit de leur « tiroir-caisse », grassement alimenté par les uns et les autres…
Car n’allez pas imaginer que cette association, comme tant d’autres de la même « eau », pratique réellement une charité totalement désintéressée !
Alors que le discret saupoudrage de migrants dans de petites villes et villages, a été dénoncé à Callac, Saint-Brévin, et Beyssenac où la félonie des maires a été mise en lumière grâce à la ténacité et le courage de quelques habitants dûment soutenus par d’irréductibles patriotes venus à leur secours, mettant en échec les sulfureux projets de maires salement vendus au pouvoir, dans la plus parfaite indifférence au sort de leurs administrés…
Après la Bretagne et la Corrèze, c’est dans le Berry qu’Altaïs prévoit d’ouvrir très prochainement à Bélâbre (Indre – 945 habitants) un Centre d’Accueil pour 38 « Demandeurs d’Asile » (CADA) !
Et selon un « rituel » désormais bien établi, il semblerait qu’une nouvelle fois, comme dans les trois précédents villages cités, les riverains (jugés comme quantités négligeables, juste bonnes à payer !) ne semblent pas avoir été consultés…
« Nous avons le sentiment d’avoir été trahis par notre maire. » À Bélâbre (Indre), dix jours après le dernier conseil municipal, la colère ne retombe pas. Sans les avertir, le maire a décidé de vendre l’ancienne chemiserie à l’association bourbonnaise pour en faire un centre pour demandeurs d’asile. Adopté lors du dernier conseil municipal (13 voix pour, 2 contre), la vente doit être ratifiée par le maire d’ici le 28 février prochain, pour la modique somme de 40.000 euros. Une fois réhabilitée, cette ancienne friche industrielle pourra accueillir au maximum 38 migrants.
« Jusqu’au vote, nous avons eu aucune information de la part de la mairie » s’insurge une Bélâbraise auprès de BV. « Tout se fait en catimini » dénonce un de ses voisins.
« Nous sommes en contact avec Callac, la mère de toutes les batailles », se réjouit une habitante de Bélâbre qui espère, comme dans les Côtes-d’Armor, voir le projet d’accueil de migrants reculer.
Aux côtés de Saint-Brévin, Corlay et Beyssenac, les habitants des communes rurales visées par l’implantation d’un centre de migrants réfléchissent à se réunir dans une coordination nationale – qu’ils nommeront peut-être « Partout Callac » – pour faire entendre leur voix et espérer mettre un terme à la répartition de migrants en zone rurale. « Si on ne fait rien, ça va continuer dans d’autres villages », alerte une Bélâbraise.
Déjà, dans l’Indre, Viltaïs annonce sur son site ouvrir également une antenne de son CADA berrichon à Argenton-sur-Creuse.
Salement douchés par la victoire des soutiens de Callac, ayant réussi à obliger le maire félon d’annuler son funeste projet, les faux humanistes de tous poils n’en finissent plus de réagir, accusant systématiquement et stupidement les anti-migrants, de tous les maux actuels… comme par exemple de prétendues « menaces de mort » ou une effrayante alerte à la bombe » … leur imagination dans le domaine des combines manipulatrices des esprits faibles n’ayant aucune limite !
Quel bonheur alors d’assister ce 21 février, à la précieuse émission « Face à l’info » présentée par Christine Kelly sur CNews, chaine désormais honnie par l’infect pouvoir actuel et ses nervis, dûment achetés donc aux ordres… via les menaces à peine voilées proférées récemment par une indigne et félonne ministre à son encontre…
Dans ce numéro, passionnant de bout en bout, il me faut souligner la part revenant au sujet qui nous préoccupe, remarquablement traité, à partir de 28′ par la formidable Charlotte d’Ornellas dans sa chronique du jour, sur la stratégie de contournement des populations pour imposer des clandestins sur tout le territoire, et plus précisément dans les campagnes !
Avec passion mais sans redondance, il ressort de sa prestation, un travail de recherche saisissant par l’abondance de ses exemples, non pas sortis d’une fumeuse idéologie classant fissa les humains en bons ou mauvais, selon qu’ils sont ou non d’accord avec elle ; mais fruits du travail de trois de ses confrères s’étant rendus « sur le tas » pour interroger directement les personnes concernées.
De leur moisson il ressort, via Charlotte, deux éléments à retenir :
– Dans plusieurs cas, des migrants avaient déjà été accueillis, et devant leur non intégration, pour cause de regroupement communautaires systématique, il ressort que loin d’être des égoïstes, comme décrits par la bien-pensance, les habitants opposés aux projets actuels, le sont en toutes connaissances de causes.
– Charlotte cite par ailleurs deux associations pro-migrants, Vitalis et Equalis chez qui certains semblent confondre avec constance les intérêts des-dits migrants, avec les leurs, bien comptés.
https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/depenses-astronomiques-de-lassociation-equalis-ce-que-contient-le-rapport-accablant-des-services-de-letat-13-02-2023-U6OKVQ3KOJC27BAX7NJEL3WP3I.php
Si Le Canard enchaîné ci-dessus, ou Le Parisien en font état récemment, il s’avère que la situation n’est pas nouvelle puisque déjà soulevée en 2021, notamment par Damien Rieu… mais qui se soucie des commentaires de Damien, étiqueté extrême droite ?
L’ex-directeur général Arthur Anane, licencié depuis a perçu 203 000 euros au cours de l’année 2020.
Mais tâchez de ne pas vous étouffer en lisant ce que cette ordure disait, en 2016, en recevant la Légion d’honneur :
Cette saloperie vivante et tous ses semblables (quand, comment a-t-il été licencié ; le fisc a-t-il gelé ses avoirs si mal acquits ?), trahissait sans vergogne ses frères de couleurs, autant que les citoyens-contribuables français !
Ecoutez avec l’attention qu’elle mérite, la chronique de Charlotte, et partagez généreusement autour de vous, surtout envers ceux de vos correspondants qui donneraient encore des signes de soumission aux « pauvres demandeurs d’asiles »… dont une grande majorité se conduit partout en terrain conquis, sans la moindre notion de reconnaissance pour la France et les Français.
https://www.dailymotion.com/video/x8ii499
https://www.cnews.fr/emission/2023-02-21/face-linfo-du-21022023-1325258
Entendre repris sur une chaine de grande écoute (que bien sûr le régime veut faire sauter) tous ce qui est journellement écrit sur Riposte Laïque, qui suit assidument les dossiers des villages déjà visés, est fortement encourageant… même s’il y a encore tellement à faire pour réussir à réveiller les plus anesthésiés par la propagande étatiste, qu’il n’est pas encore temps de se reposer sur d’infimes mais réels lauriers.
Il reste encore tant à faire, alors que les ordures, en nombre, et dûment alimentés aves nos sous, accélèrent toujours plus le tempo de leurs sinistres desseins, via les sales projets des associations prétendues vertueuses, telles entre autres les deux précitées.
A tous les arguments bidons, les belles envolées humanistes, auxquels ils ne pensent pas un traitre mot, il faut opposer à tous ces félons, que si une seule de leurs visées étaient réellement le sort des clandos qu’ils nous imposent… ils commenceraient par en limiter le nombre, procédant tranches par tranches, de manière à rendre possible leur intégration avant de passer aux suivants…
Donc en leur donnant les moyens d’apprendre la langue et de vérifier dans quelle voie les diriger pour trouver un emploi, susceptible de subvenir à leurs besoins, sans passer par les aides de l’Etat, en droite ligne des impôts de ceux qui triment sans relâche… pour récolter au mieux l’indifférence, au pire l’insulte et la mort !
Tout cela est IMPOSSIBLE, d’une part par ce qu’actuellement, il n’y a déjà pas suffisamment de travail et logement pour les citoyens d’origine… mais surtout parce que le véritable but des marionnettistes planqués en coulisses, est précisément de créer le chaos via l’affrontement entre des civilisations diamétralement opposées ; les plus faibles éliminés, il restera les plus forts… qui deviendront leurs esclaves et que, aidés des robots de l’intelligence artificielle, ils leur permettront de couler des jours heureux, sans contestations, récriminations, accusations de tous ordres, comme avec les vulgaires « humains » actuels, devenus gênants tant par leur nombre que par leurs revendications !
Car c’est cela, et UNIQUEMENT cela le fumeux projet de ces ordures, parées de la fausse aura « d’humanistes, bienfaiteurs de l’humanité » !
Alors, toujours envie de somnoler benoitement en attendant votre rencontre, où que vous viviez, avec un coutelas ou une kalachnikov ?
A moins qu’un jour, comme en Allemagne, on vous demande de vider les lieux… pour faire de la place aux nouveaux arrivants… réfugiés d’Ukraine !
Scandale à Lörrach ! Dans cette petite ville allemande à moins de 20 km de Bâle, 40 locataires ont reçu l’ordre de quitter leur logement. La raison ? L’arrivée massive de réfugiés ayant besoin d’un toit dans le pays. Les habitants concernés sont abasourdis.
Avec un dingue comme le locataire de l’Elysée, pensez-vous vraiment que ce serait impossible en France ?
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression