Interdiction de ne pas aimer l’islam, selon les procureurs du grossier Yéti !

 

Quatre mois de prison requis pour avoir osé rigoler en 2020 avec l’expression « Et si Castex remplaçait l’application « Stop Covid » par l’application « Stop Islam ? » !

Pendant que la multitude des tueurs islamiques se voie toujours exemptée de la moindre responsabilité… c’est cela la justice du Yéti-bras-d’honneur !

Non seulement les pleurnicheries des pro-islam sont ridicules car toujours « à côté de leurs pompes » en grossissant chaque fois le trait, dès qu’une critique est émise sur l’islam et ses petits soldats sanguinaires ; mais elles sont de plus en plus écœurantes par le vocabulaire outrancier utilisé pour « abattre » ceux qui osent « stigmatiser » leurs potes… sans jamais tenir compte des multi récidivistes en crimes, viols, exactionsde cette communauté, qu’il est pourtant aisé de retrouver en prison… en dehors de tous ceux qui se baladent impunément dans la nature, au point d’être répertoriés comme « bien connus des services de police, ou de justice »… même par les torchons officiels du pouvoir !

C’est ainsi qu’en février 2012, à propos d’un des premiers procès menés contre RL par les habituels suppôts de l’islam, déguisés en « officines contre l’islamophobie », le journal Politis, s’affichant aujourd’hui « en soutien au mouvement social », démontrait déjà à quel point il était éloigné du plus légitime respect pour ceux qui ne pensent pas comme lui, en osant commencer ainsi sa copie :

Un torrent de haine se déverse dans la 17e chambre du Palais de justice de Paris. Vendredi 3 janvier, Pierre Cassen et Pascal Hilout, respectivement directeur de la publication et rédacteur du journal en ligne islamophobe « Riposte Laïque », comparaissaient pour deux textes publiés en octobre et décembre 2010 sur la toile. Devant un auditoire acquis à leur cause, ils ont maintenu leurs propos avec une virulence obsessionnelle.

https://www.politis.fr/articles/2012/02/riposte-laique-deverse-sa-bile-islamophobe-devant-la-justice-17015/

https://www.politis.fr/

Déjà ces ignares ne semblent pas connaitre la signification exacte du mot phobie, (du grec ancien φόβος / phóbos, frayeur, crainte ou répulsion), qui signifie « avoir peur de », quand précisément ce sont eux qui stigmatisent en permanence ceux qui osent avoir peur du tentaculaire système politico-religieux islam, grimé en religion !

Mais qui sont-ils, sinon d’immenses sectaires opposant une intolérable intolérance, et une dangereuse étroitesse d’esprit à tout ce qui n’est pas eux ?

Si bien de différentes phobies sont connues telles, la phobie de l’avion, des serpents, du sang, de la foule… de quel droit en seraient-ils les censeurs… condamnant ainsi toute femme ayant peur des souris et des araignées, c’est-à-dire une immense part de l’humanité ?

Et si ces phobies peuvent se soigner en fonction des symptômes et des causes, en étant justement à l’écoute des citoyens atteints ; ces crétins sont incapables d’une vraie empathie envers ceux dont la peur est justement entretenue par leur soutien indéfectible des criminels islamiques, en inversant systématiquement les rôles d’assassins et de victimes !  

En se rangeant du côté des prétendues « belles âmes » de la stupide bien-pensance-bobo-gauchiste, Politis, et tous ses semblables, sont à mettre dans le même sac que les hyènes de la LDH, la Licra, le Mrap, SOS Racisme et le Collectif contre l’islamophobie en France, se déclarant immédiatement parties civiles… alors que leur  principal ressort n’est autre que l’agréable bruit du tiroir-caisse après chaque procès gagné, ajouté aux scandaleuses subventions que l’Etat leur verse déjà (avec nos impôts), mais dont ils n’ont jamais assez, pour eux-mêmes avant leur prétendue cause… 

Aussi, à propos des deux procès contre Riposte Laïque qui se sont déroulés hier à Paris, et dont Hector Poupon nous a fait un magnifique compte-rendu détaillé du premier, consultable ici :

https://ripostelaique.com/4-mois-de-prison-requis-contre-pierre-cassen-pour-humour-islamophobe.html

J’aimerais insister sur deux précisions, en disant long sur le parti-pris des gens de « non-justice » d’aujourd’hui, capables d’accepter toute demande de poursuite de la part d’associations avant tout vénales, contre des citoyens osant critiquer l’islam, quand eux-mêmes ne se privent jamais d’insulter la religion catholique, sans aucun respect des Chrétiens, et sans rappel à l’ordre des magistrats gauchistes, faussant ainsi l’emblème même de leur profession !

Les aveuglants « deux poids / deux mesures » qui prévalent désormais dans les prétoires, « selon que vous serez… gauchistes-islamo-collabos, ou pas ! » ; commençaient hier par le fait qu’un « détail » substantiel, tel que la classification de la vidéo humoristique incriminée en rubrique « humour et dérision », avait grossièrement été oubliée… volontairement nous n’en doutons pas !

Deuxième remarque, si pour ce premier procès, l’auteur de l’article (Pierre Cassen), et le directeur de publication (Guy Sebag) étaient tous deux poursuivis pour cette vidéo datant de 2020, soulignant la totale imperméabilité des associations et magistrats au moindre trait d’humour…

En revanche pour le second procès (objet d’un second compte-rendu) incriminant un texte de Boris Karpov, fustigeant les stupides scènes de repentances, aux Etats-Unis et ailleurs, après le meurtre de George Flyod, en écrivant que « jamais en Russie, un citoyen de Vladimir Poutine s’agenouillerait devant un Noir » ; celui-ci n’était aucunement  poursuivi, mais seul Guy Sebag le directeur de publication !

Courageux mais pas téméraires,  ces magistrats n’ont sans doute pas osé ajouter à l’’opprobre générale contre Poutine, en s’en prenant directement  à un citoyen Russe !

Dommage, j’aurais (et je ne suis pas la seule) tant aimé voir la riposte de Vladimir… qui d’ailleurs est fort occupé à préparer sa méga fessée contre le malotru (pour rester correcte) Zelensky !

Par ailleurs, officiellement pour cause de tribunaux surbookés, mais plus vraisemblablement pour ne pas avoir l’air de s’acharner sur les mêmes, un troisième procès, contre Laurent Droit et toujours le directeur de publication de RL, a été reporté.

Pour ces véritables malfaiteurs associés que sont les prétendues associations « droits-de-l-hommistes » (mais pas pour tous les hommes !), et les magistrats gauchistes sans éthique, tout est bon pour condamner leurs adversaires, et l’unique prétexte « fourre-tout » utilisé, est encore et toujours leur fameuse « incitation à la haine »… Pratique !

Pour autant, comment attendre une justice digne de ce nom, à laquelle Saint-Louis impartial, se livrait sous son chêne… quand nous avons pour l’heure, hérité d’un ministre de la justice à la sauce Macron et Cie, n’hésitant pas assumer deux bras d’honneur en pleine Assemblée !

Bientôt il finira par siéger avec une plume dans … l’hémisphère sud, histoire de prouver qu’il n’est pas un vilain petit canard… mais il aura néanmoins de plus en plus de mal à convaincre du contraire.

En se référant au discours moralisateur de l’irresponsable qui nous sert de président, envers un président africain qui le recevait dernièrement, on aurait légitimement pu s’attendre qu’il vire aussitôt ce vil ministre… mais il n’en sera rien puisque sous des dehors « policés », Macron n’est, comme son ministre, que vulgarité et grossièreté !

Quand on est magistrat, mieux vaut ne jamais avoir croisé la route de l’avocat Éric Dupond-Moretti. Une fois devenu garde des Sceaux, en juillet 2020, et alors qu’il est censé garantir l’indépendance de la justice, celui-ci n’a eu de cesse d’utiliser ses prérogatives régaliennes pour régler des comptes personnels avec des juges et des procureurs, quoiqu’il s’en défende.

Un nouvel exemple de cette situation inédite (et néanmoins récurrente) de conflit d’intérêts du ministre de la justice occupe la formation disciplinaire du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), ce jeudi 9 mars.

Marie-Laure Piazza, une magistrate du siège qui a occupé plusieurs postes à responsabilités, se voit reprocher plusieurs griefs disciplinaires : divers « manquements à son obligation de loyauté et de délicatesse » envers des collègues, des subordonnés et des personnels du greffe.

Or il se trouve qu’un grave incident l’avait opposée publiquement à Éric Dupond-Moretti en octobre 2016, lorsqu’elle présidait la cour d’assises de Haute-Corse. Avocat de l’un des accusés, celui-ci avait vertement accusé la magistrate d’être partiale et d’avoir fait pression sur les jurés. L’affaire s’était conclue par la plus faible des sanctions contre Éric Dupond-Moretti : un simple rappel à la loi.

https://www.mediapart.fr/journal/france/090323/le-gouvernement-accuse-de-faire-un-bras-d-honneur-la-magistrature

Ben voyons ! Niveau « délicatesse », le gros plein de soupe (pardon, de « velouté ») nous a prouvé récemment … qu’il en était totalement dépourvu, mais c’est lui qui juge ses pairs… comme c’est pratique !

Surtout quand la Borne, qui dépasse les bornes, est en extase devant lui quand il pérore à l’Assemblée !

Il faut vraiment être totalement aveugles et sourds, comme la petite minorité des citoyens manifestement décervelés, qui ont reconduit Macron à son poste, malgré sa haine de la France et des Français, pour ne pas voir la collusion de ce pouvoir avec tous ceux qu’il achète, pour défendre systématiquement tous les islamistes outrageusement taxés de tolérance, alors qu’ils incluent un nombre sans cesse grandissant d’assassins et criminels en tous genres… contre les Français qui n’ont même plus droit à la parole pour se défendre… celle-ci étant à leurs yeux bien plus dangereuse que d’inoffensifs poignards, haches, kalachnikov…   

Pourtant nous ne nous tairons pas ; tentant plutôt, chaque fois que possible, de mordre férocement la main qui prétend nous bâillonner !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression