Nul doute que si notre duo d’incapables, toujours contents d’eux, mettaient autant de zèle et de sévérité, à punir les trafiquants de tous âges, qui sévissent à Marseille encore plus qu’ailleurs, qu’à embastiller des anti-violeurs, Socayna serait encore en vie !
Faut-il que l’heure soit immensément grave, pour qu’enfin un « drame », habituellement traité comme un simple « fait-divers » isolé, quand bien même il s’en répète d’identiques tous les jours aux quatre coins de France… soit annoncé avec tout le sérieux et toute la gravité requise ?
Car même TF1 s’en est ému hier, en consacrant plusieurs minutes de son JT à décrire le drame qui s’est joué dans le 10ème arrondissement de Marseille dans la nuit de dimanche à lundi :
Atteinte à la tête par une balle perdue, à l’intérieur de son appartement, une jeune femme de 24 ans est morte mardi, après avoir été transportée à l’hôpital, en état de mort cérébrale.
Dans la nuit de dimanche à lundi, Socayna se trouvait dans la chambre de son appartement situé au troisième étage d’un immeuble de la Saint-Thys. Elle travaillait devant son ordinateur en buvant un verre de lait, quand elle a été touchée à la tête par une balle de Kalachnikov qui a traversé le mur.
“La balle l’ayant atteinte a traversé un contre-plaqué de bois situé en bas de la fenêtre baie vitrée”, précise le communiqué du parquet.
[…] « La victime n’était pas visée, elle était tranquillement chez elle », a déclaré Dominique Laurens, la procureure de la République de Marseille qui préfère désormais parler de « narchomicide« . « On a vraiment atteint le stade ultime », déplore-t-elle.
Encore un effet de langage, sacrifiant à la mode des « nouveaux mots » … et évitant par la même occasion d’enregistrer les faits à la rubrique « homicide » !
On se savait tous potentiellement en danger, dans la rue ou les transports en communs, possibles victimes en croisant un fou d’Allah, revendiqué ou non… mais on pouvait encore s’imaginer en sécurité, entre nos quatre murs… Pure illusion qui vient d’exploser avec la mort de Socayna !
Avec les incompétents qui sévissent en Macronie, nous sommes en danger, PARTOUT !
Comme le précise la procureur, deux autres appartements ont été impactés par les balles, mais heureusement sans blesser physiquement deux femmes, une de 79 ans, et une autre de 86 ans ; elles ont rapidement été pries en charge par une cellule psychologique.
Bien évidemment les habitants sont sous le choc, comme cette dame qui témoigne au volant de sa voiture dans la vidéo, consternée que l’on puisse « lire tranquillement chez soi, et puis paf… c’est fini ! ».
Si j’étais une adepte de l’humour noir, je dirais « qu’il faut immédiatement défendre aux enfants de France d’apprendre à lire, puisque Marseille vient de prouver que c’est dangereux » … et bien évidemment cela ferait le bonheur de tous les tordus visant la ruine de notre pays et ses institutions, en les minant sans trêve, et en commençant par l’école.
Même les policiers sont étonnés puisque le point de deal en question est de moindre importance, comparé à bien d’autres, beaucoup plus conséquents.
Les deux jeunes qui ont tiré « plus de vingt fois » à l’aveugle, sont toujours recherchés…
Mais que leur adviendra-t-il quand ils seront retrouvés ?
Quand les policiers, à l’inverse des politiques, auront fait correctement leur travail et les livreront aux services juridiques, politisés jusqu’à la moelle, sera-t-il tenu compte par les juges rouges qu’un degré important vient d’être atteint dans l’escalade de l’horreur… ou non ?
Seront-ils capables de comprendre que malgré leurs résidences sécurisées et leurs gardes du corps… une balle perdue serait susceptible un jour ou une nuit, d’atteindre leurs petites personnes, seules jugées importantes ?
Et en conséquence, comptent-ils changer leur braquet pour les prochains procès contre des racailles tueuses ???
L’avenir nous le dira ; mais me basant sur le passé, j’avoue avoir de gros doutes.
Quant au duo infernal Macron-Darmanin, dont les mains rougies du sang des innombrables victimes de leur politique meurtrière consistant, pour l’un à traquer une extrême droite fantasmée et mise à toutes les sauces, pour éviter de nommer l’extrême gauche ; pour l’autre à résoudre tous les problèmes … en ouvrant le carnet de chèque, déversant des millions en Afrique comme à Marseille, ou encore dans les banlieues perdues pour la république… participant sans aucun doute à l’enrichissement de quelques-uns…
Macron dans ce contexte étant bien à ranger dans la catégorie « dealers », puisqu’il troque avec eux, un calme entièrement hypothétique, contre des vannes de fric ; celui des impôts et taxes avec lesquels il asphyxie les Français !
En réalité, la mission des deux compères, ce n’est absolument pas de se défoncer pour la sécurité des citoyens… mais juste… de ne pas faire de vagues, « en disant ce qui doit être dit… et faisant ce qui doit être fait » … parce que cela indisposerait fortement les petits protégés, de leur camps… celui des racailles !
Sauf que cela se voit désormais, comme le nez au milieu de la figure, ce qui amène un Stade de France bondé, à siffler copieusement ce Tartuffe, l’’empêchant de faire entendre ses éternels discours tarabiscotés soufflant à la fois le chaud et le froid !
Le dernier écœurant exploit des deux larrons, étant l’arrestation éclair d’une douzaine de jeunes patriotes, ayant osé souligner l’inacceptable silence de L’État à propos de l’odieux viol de Mégane à Cherbourg, en venant manifester près de la maison où vivait l’ordure tortionnaire, non à la kalachnikov, mais à l’aide de « dangereuses » banderoles, signalant aux gens de se préparer puisque l’État ne les défendra pas…
Insupportable pour l’orgueil de ces deux trous du culs, faibles avec les dangereux envahisseurs, mais tellement forts avec nos jeunes courageux, bien éduqués et respectueux de l’autorité … quand elle est respectable !
Et quelque chose me dit que même bouffis de vanité, les deux complices, dans l’ineptie comme dans la lâcheté, n’envisageront jamais de se supprimer, face à l’évidence de leur fiasco dévoilé au monde entier… mais au contraire, s’accrocheront jusqu’au bout, comme les vulgaires morpions qu’ils sont !
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression