Avec un peu de « bonne volonté » de part et d’autre, plus de problème…
Il a tout compris Arié Alimi (*) ; et heureusement qu’il est là pour nous éclairer, sinon nous en aurions encore vraisemblablement pour des lustres avant de comprendre que nous autres les patriotes qui voulons vivre en paix chez nous, nous nous trompons d’ennemis.
Sa démonstration est tellement simple, que nous nous demandons bien pourquoi nous n’y avions pas pensé plus tôt !
https://twitter.com/F_Desouche/status/1716574673201213511
En réalité, ceux que nous ciblons régulièrement dans nos textes, les désignant comme de grands méchants, intolérants et cruels, sont des gentils, de braves types ne demandant qu’à faire « amis-amis » avec nous (et plus si affinités… pour nous mesdames), et ne deviennent vraiment méchants, à contre cœur, à cause de notre propre attitude à leur égard, en les rejetant avec nos amalgames et stigmatisations perpétuelles, à propos de leur religion qui n’est pourtant qu’amour, tolérance et paix dans le monde… dès lors que nous sommes d’accord pour l’adopter sans faire d’histoire…
Ce n’est pourtant pas demander la lune ! Si ?
Vous voyez bien qu’ils sont sympas… et tolérants.
Rassurez-vous, je n’ai pas fumé la moquette ; ce préambule avait juste pour but, en vous scandalisant, de tenter de vous réveiller de la léthargie générale provoquée par les discours sirupeux tendance somnifère de nos élus ; lesquels n’ayant d’autre but que nous endormir profondément, afin d’éviter que nous ne mettions le nez dans leurs petites affaires, bien peu ragoutantes !
En vraie vérité, bien que portant beau son honorable (quoique…) profession d’avocat, le sieur Alimi est bien de la même eau que les hystériques hurlant « Allah Akbar » qui n’a absolument rien d’un cri de paix, bien au contraire, puisque souvent il est suivi, ou précédé, d’un assassinat, voire d’un attentat multi meurtrier !
Il est donc aveuglant de constater à quel point nos « gouverneux » actuels et passés (et sans doute futurs si nous ne nous réveillons pas urgemment !), malgré leur continuelles rodomontades, sont totalement impuissants à faire régner l’ordre dans le pays… d’où la conclusion formelle, que leur aptitude à gouverner est totalement nulle, à l’inverse de ce qu’ils prônent dans leurs discours de campagne avant chaque scrutin… et qu’ils persistent à prétendre, malgré tous leurs incessants fiascos dans tous les domaines.
https ://www.youtube.com/watch ?v=Meh3eTSvRIU
Ecoutez d’ailleurs l’intéressante analyse du même événement, par Jordan Berdella, devant qui les journaleux de services rabattent leur caquet, puisque ne se laissant pas impressionner par une interruption, il termine sa phrase et, sans s’énerver, poursuit sa démonstration jusqu’au bout.
https://www.youtube.com/watch?v=MIbIM4Hz4TE
Mais au-delà de la sagesse et la clairvoyance de Bardella dans son analyse, il est clair que la communauté musulmane dans son ensemble, est considérablement embarrassée chaque fois qu’un des leurs commet un acte terrorisme.
Et sans aller jusqu’à justifier le terrorisme comme « conséquence de de la stigmatisation » subie par les « malheureux » musulmans, comme le prétend Arié Alimi, dont le cas relève de la psychiatrie si, bien que juif, il est sincère (ce qui reste à prouver), soit le désigne comme une belle ordure s’il sait pertinemment qu’il ment…
Il semblerait que le terrorisme islamique, impossible à nier, sauf à être soi-même un « extrémisme du mensonge », trouve une explication chez certains, dans le déni pur et simple du désormais fameux :
« Ce n’est pas l’islam ! »
Combien de fois cette négation aura été opposée par des responsables musulmans après l’agression mortelle d’innocents au cri d’« Allah akbar », «Dieu est le plus grand» !
Une semaine après les faits (l’assassinat de Dominique Bernard à Arras), la communauté musulmane oscille entre un profond embarras, une mauvaise conscience pour certains et, plus majoritairement, un déni de responsabilité, assorti d’une sourde révolte contre « l’amalgame entre islam et violence ».
Un reproche adressé en deux directions : à l’assassin parce qu’il a tué en « instrumentalisant la religion », en la dévoyant, et à la société française qui ne saurait pas dissocier l’acte de ce meurtrier de « la religion ».
Alimi semble être lui-même écartelé, outre ses racines juives-algériennes-tunisiennes, entre sa profession d’avocat, et son militantisme d’extrême gauche.
Conseil de Jean-Luc Mélenchon, défenseur de Taha Bouhafs, pourfendeur des “violences policières” et du “racisme systémique” … Arié Alimi est un avocat phare de la sphère des insoumis. Un exercice qu’il conjugue tant bien que mal à un militantisme revendiqué.
Le droit est un outil, l’arme la plus puissante qui soit. Tel est le credo d’Arié Alimi. L’avocat de Jean-Luc Mélenchon compte bien sur l’aura de sa profession pour faire progresser son bord politique. Membre du bureau de la Ligue des droits de l’homme, avocat de l’ONG Oxfam France – dont la directrice générale, Cécile Duflot, fut sa compagne -, grand pourfendeur de la loi sécurité globale, il est un fer de lance de la lutte de l’extrême gauche contre la « bestialisation de l’action policière ».
Ecoutez-le se répandre sur son sujet favoris, la violence policière… doublée ici d’un tacle au gouvernement… tout comme son client Méluche qui pense faire croire qu’il est un opposant au système…
https://www.dailymotion.com/video/x8o5ag8
« Le gouvernement favorise systématiquement les policiers. »
L’avocat Arié Alimi dénonce la complicité de l’État face aux violences policières et les injustices de traitement entre une affaire impliquant un policier et un citoyen lambda. Son livre « L’Etat hors-la-loi » vient de paraître aux éditions de La Découverte.
Quand un bouffon, rencontre un autre bouffon… qu’est-ce qu’ils se racontent ???
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
(*) Né à Sarcelles, d’un père originaire d’Algérie et d’une mère d’origine tunisienne, Arié Alimi fait sa scolarité à l’école privée juive pour garçons Ozar Hatorah de Sarcelles jusqu’à la classe de troisième… Reçu au Barreau de Paris, il fonde son cabinet et se spécialise dans les affaires de violences policières